Stephanie Oelmann travaille chez Galaxus à Krefeld (Rhénanie-du-Nord-Westphalie) depuis le lancement en 2018. Aujourd'hui, elle est Group Leader Logistics. Peu de collaborateurs dans l'entrepôt ont une vue d'ensemble aussi nette qu'elle. Dans cette interview, elle nous explique pourquoi elle aime son travail, quel type de collaborateur elle recherche et ce qu'elle a prévu de faire avec les nouveaux points EDU.
Aimes-tu ton travail ? J'adore, je suis en charge de toute l'organisation. Il s'agit de tâches exigeantes, mais je suis dans mon élément. Chez nous, on a le droit d'être différent. On communique très ouvertement à tous les niveaux, chacun a vraiment son mot à dire. Je n'ai jamais vu cela dans d'autres entreprises.
C'est cool, de quel instrument joues-tu ? Est-ce qu'il existe une vidéo ou quelque chose du style ? Je joue de la guitare et je chante. On n'en est qu'au début. Il n'y malheureusement encore rien en ligne.
Nous en reparlerons dès qu'il y aura une chaîne YouTube. Merci beaucoup pour cet entretien!
Envie de vous lancer dans le e-commerce ? Galaxus Deutschland est toujours à la recherche de collaborateurs à Krefeld et à Hambourg. Postes vacants : jobs chez Galaxus.
Un faible pour les bonnes séries, la musique forte, la science-fiction et le football (de deuxième division). En tant que responsable des relations publiques, je suis à la disposition des journalistes pour répondre à toutes leurs questions sur Galaxus et le commerce électronique honnête.
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Stephie, tu es chez Galaxus Krefeld depuis trois ans, depuis le début donc. En quoi consiste ton travail ? Je m'assure que tout se passe bien dans la zone d'arrivage des marchandises. Le stockage doit avancer rapidement, les collaborateurs doivent donc s'organiser en conséquence. Pour ce faire, je me charge régulièrement de la planification du personnel. Parfois, ça coince ici ou là, il faut alors résoudre ensemble des problèmes de rendez-vous perso par exemple. Ici, je suis un peu comme une maman à l'écoute.
Ça a l'air super, mais si tout le monde a son mot à dire, ça peut vite devenir fatigant, non ? Certes, mais les avantages l'emportent nettement sur les inconvénients, il faut bien se sentir à l'aise au travail. Je compte aussi sur les gens pour venir me parler. Car il y a forcément des trucs qui m'échappent. Je pense avoir une bonne vue d'ensemble, mais il arrive que des collaborateurs suggèrent des choses à faire différemment. Je peux aussi faire marche arrière en cas de besoin. C'est un véritable atout d'avoir des collaborateurs qui mettent la main à la pate.
Avons-nous assez de personnel ou cherchons-nous à recruter ? En trois ans de galaxus.de., il n'y a jamais eu de temps morts dans le recrutement, la croissance est forte. Nous continuons à embaucher à Krefeld et à Hambourg. À Krefeld, nous recherchons des logisticiens polyvalents aimant travaillant dans le domaine du stock. Il est rare de ne travailler ici que sur un poste en particulier. Chez Galaxus, en période de forte affluence, on est amené à travailler tantôt dans la zone d'arrivage des marchandises, tantôt à l'emballage. Le mot d'ordre ? La polyvalence. Ce que nous ne voulons pas, c'est des tirs au flanc. Les gens doivent avoir envie de changer les choses et ne pas hésiter à proposer des idées d'amélioration. Pour un fonctionnement optimal, il faut bien sûr aussi avoir la certitude de pouvoir dire ce que l'on pense.
Nous travaillons aussi avec des agences d'intérim. J'imagine qu'il est difficile de proposer des améliorations quand on est là que depuis quelques semaines et que l'on se sait bientôt sur le départ ? Bien sûr, ça ne va pas aussi vite quand on est nouveau. Mais je suis contente que nous finissions par embaucher des intérimaires lorsque la situation s'y prête. En décembre par exemple, nous en avons embauché deux. C'est très positif, car ils peuvent s'identifier à notre culture d'entreprise. Bien souvent, ces gens auraient eu d'autres possibilités. Mais notre culture de la décontraction et du rythme effréné ne convient pas forcément à tout le monde. Certains veulent toujours qu'on leur dise exactement ce qu'ils doivent faire et éprouvent certaines difficultés face aux changements. Chez nous, ils ne sont pas au bon endroit.
Galaxus Deutschland a introduit les points EDU cet été. Sont-ils utilisés ? Oui, plusieurs collaborateurs ont déjà acheté de la littérature spécialisée grâce aux points EDU. C'est aussi ce que j'ai l'intention de faire. L'année prochaine, je compte suivre une formation continue dans le domaine de la gestion. Je trouve ça super que Galaxus laisse les gens décider de la façon d'utiliser cet argent. Cela ne va pas de soi.
Qu'en est-il du temps libre, as-tu suffisamment de chances d'en profiter ? À qui le consacres-tu ? À ma fille bien sûr ! Avec le stress du boulot au moment de Noël, elle passe un peu au second plan, mais je me rattrape. À part ça, je rencontre mon groupe de musique une fois par semaine. Nous ne lui avons pas encore donné de nom et n'avons terminé que deux chansons, mais c'est un super équilibre avec le travail. C'est très amusant, peu importe mon état de fatigue du moment.
