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Critique

J’ai testé le jeu vidéo « Tchia », une ode à la Nouvelle-Calédonie

Philipp Rüegg
20/3/2023
Traduction : Stéphanie Klebetsanis

« Tchia » se déroule dans une atmosphère détendue de vacances d’été sur une île tropicale, interrompue occasionnellement par des programmes inutiles.

Des vacances en Nouvelle-Calédonie

Le scénario passe au second plan

Une ambiance de vacances méditative

Tchia ne propose ni fonction de voyage rapide ni carte qui me montrerait où je me situe exactement. Sauf dans les guides, la carte ne me donne qu’un emplacement approximatif. Je m’en sors avec mon compas et en marquant les lieux sur la carte. Ça me force à explorer mon environnement avec attention, et je réussis à me repérer sans avoir les yeux constamment rivés sur une mini carte.

Une multitude d’activités de loisirs

Un programme-cadre inutile

En fait, je n’aurais qu’à saboter quelques machines pour arrêter la production de tissus. Cela affaiblirait considérablement Meavora et les Maano. Mais dès que les Maano me voient, ils m’enveloppent de loin avec leurs tissus. Ils ont même une sorte de tourelle qui me vise à une distance phénoménale. C’est particulièrement énervant lorsque j’escalade une haute cheminée. Un coup et je tombe par terre, enveloppé dans du tissu.

Conclusion : des vacances parfaites à la plage

Ce qui distingue Tchia des autres jeux, ce sont les détails qui illustrent la culture néo-calédonienne. Ils restent les éléments centraux du jeu. De la musique de fond relaxante aux chants traditionnels en drehu, en passant par les plats joliment présentés, l’influence néo-calédonienne est omniprésente.

Outre ses combats agaçants avec les Maano, le seul reproche que je peux faire à ce jeu, c’est qu’il peut être ennuyeux. Cela dit, un léger ennui témoigne de vacances réussies, n’est-ce pas ? Et puis les défis et les tâches de collecte, somme toute assez peu exigeants, m’offrent une distraction bienvenue.

Les sauts d’âme restent mon élément préféré. J’adore me mettre dans la peau d’un oiseau et survoler d’incroyables paysages. En chemin, je ramasse un fruit d’endurance ou je fais une petite course (un mélange de sprint, d’escalade et de lévitation). Une fois l’objectif atteint, je me rafraîchis en plongeant dans les eaux fraîches. J’en profite pour nager avec un poisson-clown et admirer les récifs coralliens.

Tchia n’est ni complexe ni profond. J’ai tout de même aimé explorer son univers et découvrir sa culture. J’aurais voulu que mes vacances se prolongent... Combien coûte un billet d’avion pour la Nouvelle-Calédonie ?

Tchia est disponible sur PC et PS4/PS5. Awaceb l’a mis à ma disposition.

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Enfant, je n’avais pas le droit d’avoir de console. Ce n’est qu’avec l’arrivée du PC familial 486 que le monde magique des jeux vidéo s’est ouvert à moi. Aujourd’hui, je compense largement ce manque : seuls le temps et l’argent m’empêchent d’essayer tous les jeux qui existent et de remplir mon étagère de consoles rétro rares. 


Critique

Quels sont les films, séries, livres, jeux vidéos ou jeux de société qui valent vraiment la peine ? Recommandations basées sur des expériences personnelles.

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