Le « Do it yourself » ou bricolage est une tendance née dans les années 50. À l’époque, une ruée vers la perceuse, le bois sur mesure et le râteau de jardin a eu lieu. L’argent était rare, il fallait donc construire soi-même. De nos jours, le « DIY » n’est pas seulement une question d’argent, il peut aussi être un symbole de statut social : les personnes qui mettent la main à la pâte sont considérées par leurs ami·es et leurs connaissances comme des personnes indépendantes et créatives. Le coronavirus a renforcé la tendance : ceux ou celles qui n’ont pas pu quitter leur maison ont eu le temps de l’optimiser.
Cela se reflète également dans les chiffres de vente de l’assortiment de bricolage de Galaxus dans l’EU. « L’assortiment s’est fortement développé », explique Adrian Burger, Category Business Manager chez Galaxus. « Les outils électriques sont le cheval de bataille de l’entreprise. C’est plus souvent le cas pour les modèles qui fonctionnent sur batterie, même dans le domaine professionnel. » La clientèle recherche des solutions en ligne pour le chantier et la maison, et non plus seulement dans les magasins de bricolage physiques. « Le large choix de marques et de produits est un avantage du commerce en ligne par rapport aux magasins de bricolage physiques », explique Adrian. « Si j’ai besoin d’une nouvelle batterie pour mon outil et que je connais la marque en laquelle j’ai confiance, cela me suffit pour prendre ma décision d’achat. Je vérifie brièvement la marque et les caractéristiques techniques telles que la tension et la capacité, puis je choisis. » Entre-temps, Galaxus.de propose environ 300 000 produits de bricolage achetables, et même plus de 400 000 si l’on inclut le jardin. « L'assortiment est de plus en plus attrayant pour la clientèle et continue de s’élargir », explique Adrian. « En ce qui concerne la qualité des données, nous avons certainement encore besoin d’optimiser certains points et nous y travaillons également. »
Le commerce en ligne avec les client·es professionnel·les a récemment gagné en importance, de plus en plus de commandes chez Galaxus proviennent d’entreprises clientes. Dans le secteur du bricolage également, les professionnel·les misent davantage sur le commerce en ligne et profitent d’un choix plus vaste ainsi que des remises sur quantité. 24 pour cent du chiffre d’affaires du secteur du bricolage chez Galaxus provient de la clientèle B2B « Les entreprises artisanales travaillent sous la forte pression des délais. C’est pourquoi, les batteries, les perceuses ou les scies sont également commandées directement à l’atelier », explique Julia Gerwien, Portfolio Development Manager chez Galaxus. « De nombreuses PME n’ont pas leur propre service d’achat, l’approvisionnement est pris en charge par le propriétaire ou le contremaître. La personne aime commander aussi confortablement qu’elle en a l’habitude en privé. » Pour s’inscrire en tant qu’entreprise, il suffit de cliquer ici.
