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Mozilla teste la recherche anonyme dans Firefox
par Florian Bodoky

Bye bye les bannières de cookies ? Grâce à l'outil "Consenter", l'acceptation et le refus permanents sur les sites web devraient bientôt appartenir au passé.
Les dispositions de la TDDDG sont claires :
L'entreprise de développement elle-même affirme vouloir montrer avec le «Consenter» que l'autodétermination numérique et la facilité d'utilisation ne sont pas forcément contradictoires. L'avenir nous dira si cela s'impose ainsi.
Depuis que j'ai découvert comment activer les deux canaux téléphoniques de la carte RNIS pour obtenir une plus grande bande passante, je bricole des réseaux numériques. Depuis que je sais parler, je travaille sur des réseaux analogiques. Un Winterthourois d'adoption au cœur rouge et bleu.
Du nouvel iPhone à la résurrection de la mode des années 80. La rédaction fait le tri.
Tout afficherLes bannières de cookies omniprésentes sur les sites web font partie du quotidien des utilisateurs et sont souvent une source d'irritation. Ils doivent sans cesse décider s'ils acceptent ou refusent les cookies de suivi, souvent dans des fenêtres peu claires avec des choix cachés et avec différents designs. Il semble maintenant que les choses bougent en Allemagne : Pour la première fois, le Commissaire fédéral à la protection des données et à la liberté d'information (BfDI) a reconnu un outil qui doit gérer ces consentements de manière centralisée.
Le service s'appelle «Consenter» (par analogie «Zustimmer») et a été développé par la société allemande de legaltech Law & Innovation Technology GmbH. Cela signifie que vous indiquez vos préférences en matière de cookies une fois, puis qu'elles s'appliquent à tous les sites web - et que les bannières de cookies disparaissent. Du moins en théorie. Le bon fonctionnement de ce système dépend également de l'autorisation des exploitants des sites Web - ils ne peuvent pas être contraints. Ce n'est que si de nombreux fournisseurs implémentent les interfaces de gestion des consentements que l'outil fonctionnera réellement. Vous pourrez utiliser l'outil à partir de fin novembre.
Pourquoi la BfDI a-t-elle reconnu cet outil et pas les autres ? La raison en est la conformité de l'outil avec la loi dite Telecommunication-Digitale-Dienste-Datenschutz-Gesetz (TDDG) et le «Einwilligungsverwaltungsverordnung». Il en résulte une base juridique pour les services dits de gestion du consentement. Ainsi, il devrait être possible de réduire au minimum les consentements pour les bannières de cookies, tout en respectant la réglementation.