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« Days Gone » et Cie : 7 jeux auxquels j’ai bien fait de donner une seconde chance

Tous les jeux ne font pas mouche du premier coup. Il me faut parfois une deuxième tentative pour véritablement apprécier certains jeux.

Je suis un joueur minutieux, c’est-à-dire que j’aime terminer les jeux que j’ai commencés. Voir des titres auxquels j’ai à peine joué s’accumuler dans mon backlog m’agace, j’essaie donc de leur donner une deuxième chance.

Cette dernière ne réussit pas toujours, mais pour les sept jeux suivants, ça valait clairement le coup.

« Days Gone » (2019)

Il n’y a que « Days Gone » pour m’envoyer de telles hordes de zombies.
Il n’y a que « Days Gone » pour m’envoyer de telles hordes de zombies.
Source : Bend Studio

Le jeu

J’incarne un motard du nom de Deacon St John. Le jeu se déroule environ deux ans après le début d’une pandémie qui transforme les humains en zombies assoiffés de sang, ou freakers comme le jeu les appelle. Deacon part à la recherche de sa femme qu’il croyait morte en moto. Au cours de son voyage, il doit affronter d’énormes hordes de morts-vivants et autres ennemis qui lui rendent la vie sacrément plus difficile dans ce monde post-apocalyptique.

Pourquoi m’a-t-il d’abord laissé de marbre ?

J’en attendais bien trop de Days Gone, à l’ère de la PS3, puis de la PS4, les jeux des studios PlayStation étaient pour moi la référence absolue. The Last of Us, Uncharted, God of War, Spider-Man ont tous été d’énormes succès chacun dans leur genre et ont montré le cap aux autres studios.

C’est là qu’est arrivé Days Gone, un jeu des studios PlayStation qui n’était pas révolutionnaire, mais juste « correct ». Les critiques médiocres (Opencritic l’a noté 72) m’ont un poil découragé, mais j’ai tenu à lui donner une chance. Mes impressions coïncidaient malheureusement largement avec celles de la presse spécialisée. À moins que je ne me sois laissé influencer ?

Toujours est-il que la déception était grande. Les dialogues abrutissants et les cinématiques involontairement drôles contrastaient fortement avec le storytelling habituellement très policé auquel PlayStation m’avait habitué. Je n’ai pas non plus réussi à accrocher au gameplay en monde ouvert pendant les premières heures de jeu. Notamment à cause des tutoriels déroutants et d’une entrée en matière très difficile dans cet univers de zombies.

Comment m’a-t-il finalement séduit ?

Environ six ans après la sortie initiale du jeu, Sony a publié une version remastérisée pour la PS5 en avril 2025. Outre les améliorations graphiques, la mise à jour payante comprend un nouveau mode survie avec permadeath en arcade. Le jeu est également compatible avec le retour haptique de la manette DualSense. En bref, suffisamment de raisons pour donner une deuxième chance à Deacon et ses freakers.

C’est donc libéré de toute attente et de toute influence médiatique que je me lance à nouveau dans cette aventure. Et que j’ai le déclic. Les dialogues et les cinématiques sont bien sûr toujours aussi mauvais. Le gameplay, en revanche, me plaît. Surtout les combats impressionnant contre les hordes de zombies. Tenter d’échapper à des centaines de morts-vivants est à la fois cool et stressant. Surtout dans le nouveau mode de survie arcade avec de l’action nonstop.

J’apprécie également l’approche non conventionnelle du monde ouvert. Mon principal outil dans ce monde post-apocalyptique : la moto de Deacon. Je dois régulièrement la réparer, faire le plein et l’améliorer. Je frissonne rien qu’à l’idée de m’en éloigner. Et si une horde de freakers me sautait dessus juste à ce moment-là ?

Quelle leçon en tirer ?

Mieux vaut ne pas avoir des attentes trop hautes ou d’idées concrètes avant de commencer un jeu. De même, je ne dois pas me laisser influencer par l’avis des autres. Days Gone n’est toujours pas un must play ou un classique, mais ça n’est pas un problème. Tous les jeux ne doivent pas réinventer la roue, même lorsqu’ils nous viennent des studios PlayStation, par ailleurs si irréprochables.

« Balatro » (2024)

Encore une petite partie...
Encore une petite partie...
Source : LocalThunk

Le jeu

Balatro est un jeu de cartes roguelike incluant des éléments du poker. Le principe de jeu est on ne peut plus simple : sélectionner des combinaisons de poker dans ma main. Meilleure est la combinaison, plus je gagne de points. L’objectif est d’améliorer son score de tour en tour. Entre les tours, j’achète divers bonus, multiplicateurs et cartes spéciales pour mon deck avec l’argent que j’ai gagné.

Pourquoi m’a-t-il d’abord laissé de marbre ?

J’ai d’abord téléchargé le jeu sur Nintendo Switch, car le principe m’amusait. Mais je n’ai jamais eu envie de jouer à Balatro. Lorsque je joue à la Switch sur le dock, j’ai envie de jouer à de « vrais » jeux de console. Même en déplacement, je préfère jouer à des titres un peu plus « complexes » sur la Switch.

En bref, Balatro était pour moi un jeu plutôt occasionnel et ne correspondait pas à ma façon de jouer sur ma Switch.

Comment m’a-t-il finalement séduit ?

Environ six mois après sa sortie sur PC et consoles, Balatro est également sorti sur iOS et Android. J’ai voulu vérifier mon hypothèse et voir si j’y jouerai plus souvent sur mon téléphone et la réponse est oui !

Pendant quelques mois, je suis devenu littéralement accro au jeu. Je joue à Balatro dès que j’ai une minute : dans le train, avant de m’endormir, aux toilettes. J’ai toujours le temps pour une petite manche ! Qui se transforme en deux, et parfois en trois manches... Le jeu est parfaitement adapté comme jeu mobile. Je suis tombé amoureux de cette boucle de gameplay simple mais parfaitement réalisée.

Quelle leçon en tirer ?

À l’avenir, je réfléchirai bien à la plate-forme pour laquelle j’achète tel ou tel jeu. Certains jeux ne révèlent leur plein potentiel que si je peux y jouer au bon moment sur le bon appareil.

« Resident Evil 4 » (2005 et 2023)

Âmes sensibles s’abstenir !
Âmes sensibles s’abstenir !

Le jeu

La fille du président des États-Unis a été enlevée par un culte religieux. L’agent spécial Leon S. Kennedy doit la retrouver et la sauver dans une région rurale d’Espagne. Il se rend rapidement compte que les choses ne se passent pas comme prévu. Les membres du culte ressemblent à des zombies et cherchent à éliminer Leon.

Pourquoi m’a-t-il d’abord laissé de marbre ?

En 2005, le jeune Domagoj avait 14 ans et trouvait incroyablement cool de pouvoir jouer à un jeu d’horreur « pour les adultes » sur sa console « d’enfant », la Nintendo Gamecube. Mais ce que j’ignorais encore au moment de lancer Resident Evil 4, c’est à quel point j’en ressortirais traumatisé.

Bien que révolutionnaire, ce jeu d’horreur m’a aussitôt mis très mal à l’aise. J’ai finalement décidé d’abandonner après huit heures de jeu. Cauchemars, sueurs froides et mains tremblantes : j’ai alors juré de ne plus jamais toucher à un jeu d’horreur.

Comment m’a-t-il finalement séduit ?

Avec le remake de Resident Evil 4 en 2023, je décide de donner une nouvelle chance au genre après presque 18 ans sans avoir touché à un jeu d’horreur. Cette nouvelle édition à l’air trop cool pour que je passe à côté. Au moment de lancer le jeu, je n’ai pas l’esprit tranquille.

Le jeu a certes été entièrement remanié, mais de nombreux lieux et ennemis sont fortement inspirés de l’original. Je retrouve la place du village qui, il y a 18 ans, a fait grimper mon pouls en flèche. Je tombe à nouveau sur « l’aimable » monsieur à la tronçonneuse qui me donnait des sueurs froides, mais je ne panique pas. Bien au contraire. J’apprécie les frissons que me donne le jeu. Une toute nouvelle expérience pour l’angoissé que j’étais. Peut-être parce que je sais à peu près à quoi m’attendre ? Ou tout simplement parce que j’ai 18 ans de plus et que je supporte mieux l’horreur virtuelle qu’avant.

Quelle leçon en tirer ?

Je n’ai pas vraiment de leçon à tirer de cet échec, si ce n’est que si un jour j’ai des enfants, je regarderai de très près la classification par âge et le contenu des jeux.

« Horizon Zero Dawn » (2017)

Des robots dinos ? Je suis fan !
Des robots dinos ? Je suis fan !
Source : Guerilla Games

Le jeu

Le monde post-apocalyptique d’Horizon est dominé par des robots dinosaures géants. L’humanité, ou plutôt ce qu’il en reste, est organisée en tribus primitives et n’a aucune idée de ce qu’était le monde avant l’apocalypse. J’incarne Aloy, une guerrière tribale aux cheveux roux, qui découvre peu à peu les secrets qui se cachent derrière les dinosaures métalliques au fur et à mesure de son aventure dans l’immense monde ouvert du jeu.

Pourquoi m’a-t-il d’abord laissé de marbre ?

Une malédiction pèse sur la série de jeux Horizon. Chaque fois qu’un jeu de la série sort, il est éclipsé par un jeu en monde ouvert encore plus attendu. Vous ne me croyez pas ? Voici des preuves accablantes :

  • Horizon : Zero Dawn est sorti en mars 2017 sur PS4. The Legend of Zelda : Breath of the Wild est sorti le même mois et lui a aussitôt volé la vedette.
  • Son successeur Horizon : Forbidden West sort en février 2022 sur PS4 et PS5. Une fois encore, le jeu est supplanté par un autre titre très attendu, à savoir Elden Ring également sorti en février.
  • La Complete Edition de Forbidden West est sortie le 21 mars 2024 sur PC, le même jour que le très attendu Dragon’s Dogma 2.

La série a décidément la poisse. Cela explique aussi pourquoi je n’ai pas réussi à rentrer dans Horizon : Zero Dawn à sa sortie. Après le monde de jeu véritablement ouvert de Breath of the Wild, Horizon donnait l’impression de revenir en arrière sur tous les niveaux.

L’approche révolutionnaire du monde ouvert de Nintendo contrastait fortement avec l’univers très conservateur du studio de développement de Sony, Guerilla Games. Le monde d’Horizon offrait une liberté moindre dans les mouvements, cachait moins de secrets, mais regorgeait de missions basiques et de marqueurs de quête sur la map. Quel dommage... J’ai fini par abandonner après une dizaine d’heures de jeu.

Comment m’a-t-il finalement séduit ?

Il m’a fallu un certain temps pour oublier Breath of the Wild et être prêt à donner leur chance à d’autres jeux en monde ouvert. Environ deux ans après ma première tentative avortée, j’ose une nouvelle incursion dans cet univers post-apocalyptique.

Libéré de la comparaison directe avec Breath of the Wild, je vois l’univers de jeu d’Horizon sous un angle complètement différent. Au lieu de me concentrer sur ce qui fait qu’Horizon est moins bien que Breath of the Wild, je reconnais ce qui le rend unique.

Et j’accepte que le monde ne soit pas complètement ouvert. Je ne peux pas escalader toutes les montagnes que je vois ou voler. Je ne tombe pas non plus par hasard sur des secrets bien cachés à m’en couper le souffle. En revanche, je peux me battre contre des robots tueurs de plusieurs mètres de haut avec des armes spectaculaires et suivre une histoire bien écrite qui me tient en haleine jusqu’à la fin. En outre, la structure des missions, certes simple mais toujours solide, me motive à finir le jeu à 100 % et à obtenir le trophée de platine.

Quelle leçon en tirer ?

Il vaut la peine de faire des pauses entre deux jeux d’un même genre ou de genres similaires. Le recul et un bref sevrage m’aident à voir les choses sous une nouvelle perspective.

« Death Stranding » (2019)

Dans « Death Stranding », j’use mes souliers.
Dans « Death Stranding », j’use mes souliers.

Le jeu

Si un jeu mérite l’appellation de « simulateur de balade », c’est bien Death Stranding. Dans ce jeu d’action/aventure épique de Hideo Kojima, j’incarne le coursier Sam Porter. Il parcourt une version post-apocalyptique des États-Unis pour acheminer divers approvisionnements vers des colonies éloignées et tente de les relier entre elles par un réseau de communication. Lourdement chargé, Sam doit parcourir des kilomètres et des kilomètres à pied. C’est vraiment un jeu de rando.

Pourquoi m’a-t-il d’abord laissé de marbre ?

Le monde de Death Stranding m’a aussitôt fasciné, mais je me trouvais dans une période difficile à sa sortie, ce qui n’est pas optimal pour faire face aux thèmes sombres abordés par le jeu.

Comme son nom l’indique, Death Stranding tourne beaucoup autour de la mort. Des créatures invisibles (les BT), qui représentent un lien avec la vie après la mort, parcourent le paysage post-apocalyptique et attaquent Sam lors de ses tournées. Ce dernier est équipé d’un « bridge baby », un bébé prématuré qui existe entre le monde des vivants et celui des morts et lui permet de voir ces créatures.

Je n’étais pas en état pour faire face à l’époque. J’ai eu besoin de faire une pause et de m’extirper du monde désespérant de Death Stranding.

Comment m’a-t-il finalement séduit ?

Environ trois ans après l’échec de la première tentative, je donne une deuxième chance au jeu. Cette fois-ci pendant les vacances de Noël. Je me sens bien et j’espère que cette fois, je serai plus à l’aise avec les thèmes du jeu. Je suis toutefois nerveux au moment de relancer le jeu.

Je m’accroche et ça paie. Cette fois, je sais dans quoi je m’embarque et je peux mieux cerner l’atmosphère oppressante que lors de ma première tentative. Plus encore, je commence à comprendre que le monde apparemment désespéré de Death Stranding ne l’est peut-être pas tant que ça.

Le jeu me montre qu’il vaut la peine de cultiver et de maintenir des relations humaines, même dans les moments difficiles. Comme le fait Sam Bridges en établissant un réseau de communication entre les différentes colonies.

Autre point positif : même si je suis la plupart du temps complètement seul dans le monde désolé du jeu, je découvre de plus en plus de traces laissées par les autres joueurs et joueuses du monde entier au fur et à mesure que je progresse dans le jeu. On peut en effet y construire des structures comme des ponts, des routes ou des échelles que les autres pourront à leur tour utiliser. C’est réconfortant pour moi. Sans même communiquer avec les autres, je me sens moins seul.

Quelle leçon en tirer ?

Ce n’est pas grave si je me sens rebuté par un jeu, notamment quand je ne suis pas au top mentalement. Mieux vaut attendre des temps meilleurs et aborder le jeu avec une perspective plus positive.

« Final Fantasy VII Remake » (2020)

Cloud Strife, un personnage iconique.
Cloud Strife, un personnage iconique.
Source : Square Enix

Le jeu

C’est le premier volet de la trilogie de remakes de ce JRPG classique sur PlayStation. J’incarne le mercenaire Cloud Strife, qui rejoint le groupe écoterroriste Avalanche afin d’arrêter la mégacorporation Shinra. Cette dernière extrait l’essence vitale de la planète pour produire de l’énergie avec des conséquences parfois fatales.

Pourquoi m’a-t-il d’abord laissé de marbre ?

J’attendais ce remake avec impatience, notamment parce que je n’ai jamais joué à l’original. Je suis tout de suite rentré dans le jeu, je me sentais parfaitement à l’aise dans la ville dystopique de Midgar. J’appréciais également le système de combat en temps réel remanié.

Il y avait cependant un problème : j’ai commencé le jeu au pire moment possible, juste avant mes vacances. J’ai joué une dizaine d’heures avant de devoir me séparer de ma PS5 pour une longue période. Après plusieurs semaines d’absence, j’ai été distrait par des jeux plus récents et lorsque je me suis décidé à reprendre là où j’en étais deux mois plus tard, j’étais complètement perdu. Où suis-je ? Qu’est-ce que je fais ici ? Comment puis-je contrôler Cloud en combat et que diable est un « Limit Break » ? C’est le cœur lourd que j’ai mis le jeu de côté et que je me suis consacré à d’autres titres à la place.

Comment m’a-t-il finalement séduit ?

Environ un an après ma tentative infructueuse de me replonger dans le jeu, je décide de recommencer depuis le début. Il s’est écoulé suffisamment de temps pour que je ne me souvienne que vaguement des dix premières heures de jeu.

Cette deuxième tentative est une réussite, le timing est meilleur. Cette fois, pas de vacances en vue et pas je ne me laisse pas distraire par les nouvelles sorties.

Quelle leçon en tirer ?

Mieux vaut bien réfléchir au moment où je veux commencer un jeu, surtout pour les gros titres. Je déteste reprendre un jeu que j’ai commencé après une pause de plusieurs semaines. Si je dois jouer à un jeu qui dure 50 heures, je le fais d’une traite.

« Control » (2019)

Dans « Control », les apparences sont trompeuses.
Dans « Control », les apparences sont trompeuses.
Source : Remedy

Le jeu

Dans Control du studio Remedy, j’incarne Jesse Faden et j’explore le « Federal Bureau of Control » (FBC en abrégé) à la recherche de son frère disparu. Cette mystérieuse agence enquête sur les phénomènes paranormaux. Jesse se retrouve donc confrontée à toutes sortes de phénomènes étranges au cours de son exploration du quartier général maudit du FBC. Avec le temps, elle acquiert elle-même des capacités paranormales comme flotter dans les airs et projeter ses ennemis par télékinésie. Le jeu fait partie du « Remedyverse », qui comprend entre autres les jeux Alan Wake.

Pourquoi m’a-t-il d’abord laissé de marbre ?

Le pitch et l’univers mystérieux inspiré de David Lynch me plaisaient. J’aimais aussi le gameplay. Malheureusement, Control était presque injouable sur PS4 au lancement. La console vieillissante parvenait à peine à me sortir 30 images par seconde. Dans les scènes d’action plus intenses, elle capitulait et le taux de rafraîchissement chutait. Impossible d’apprécier le jeu dans ces conditions. C’est donc le cœur lourd que j’ai décidé de désinstaller Control de ma PS4.

Comment m’a-t-il finalement séduit ?

Après avoir terminé le chef-d’œuvre d’horreur psychologique Alan Wake 2 (2023), j’ai envie d’explorer un peu plus le Remedyverse. Je décide de donner une nouvelle chance à Control, cette fois sur PS5. Avec 60 images par seconde, je peux enfin jouer correctement au jeu. Sans les obstacles techniques, je me plonge totalement dans le monde surréaliste de Control et en tombe amoureux.

Quelle leçon en tirer ?

Mieux vaut ne pas jouer à des jeux modernes et exigeants dans une version de moindre qualité sur un matériel obsolète. Je ne compte pas les pixels et ne suis pas particulièrement exigeant côté graphismes, mais lorsque les performances techniques d’un jeu me détournent de son contenu, je dois trouver une autre solution pour y jouer.


À quels jeux ne regrettez-vous pas d’avoir donné une deuxième chance ?

Photo d’en-tête : Bend Studio

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Ma passion pour les jeux vidéo s'est éveillée au jeune âge de cinq ans avec la Gameboy originale et a grandi à pas de géant au fil des ans.

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